Rénovant une maison de 230m² dans la région de Cambrai (nord), avec une grange attenante, la question du chauffage s’est vite posé.
D'abord fût le choix du moyen de chauffage: vu la surface à chauffer ce sera du chauffage centralisé. Ensuite, quoi pour chauffer l'eau ?
Le village n’est pas desservi par le gaz de ville et ne le sera jamais. Le chauffage électrique, le fioul et le GPL sont incompatibles avec notre état d’esprit plutôt orienté "développement durable".
La géothermie est difficile à mettre en œuvre (peu de terrain, coût d’un forage prohibitif) et l’aérothermie me laisse sceptique (un chauffage dont le rendement chute avec la température extérieur et nécessitant un appoint électrique, très peu pour moi).
Reste la solution bois.

Se chauffer au bois... déchiqueté

quelle drôle d'idée !

Nous travaillons tous les deux et avons deux enfants en bas âge: on se voyait mal être de corvée de remplissage de chaudière à buche ou de nettoyage des conduits de fumée tous les jours.
La solution granulé est séduisante mais le coût du combustible a tendance à grimper plus vite que l'inflation.
Le bois déchiqueté apparait donc comme une évidence, surtout que des amis agriculture/éleveur se chauffent déjà grâce à des plaquettes de bois. Piste à creuser.

Tag

bois déchiqueté, plaquette, chaudière, Hargassner

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